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Infirmières bulgares : Cécilia Sarkozy s’explique

"Choquée" par l’exploitation médiatique de cette affaire, la femme du chef de l’État a souhaité, pour la première fois, "faire la lumière" sur son rôle dans la libération des six praticiens le 24 juillet dernier.b5ef96ea96dba5da8df589aa4730aa9a.jpg

Cécilia Sarkozy a choisi une interview au journal l'Est Républicain pour expliquer, pour la première fois, son rôle dans la libération des cinq infirmières et du médecin bulgares le 24 juillet dernier, après huit années de détention dans les geôles libyennes. Une libération à laquelle elle avait personnellement contribué, se rendant personnellement sur place en compagnie du secrétaire général de l’Elysée, Claude Guéant, et rencontrant personnellement le dirigeant libyen, le colonel Kadhafi.

Comme son mari l’avait affirmé, Cécilia Sarkozy ne s’expliquera pas devant la commission d’enquête parlementaire, comme le réclame le Parti socialiste. "Ça n’est pas ma place", dit-elle avant d’ajouter : "Je tiens cependant à faire la lumière sur mon rôle dans cette affaire, voilà pourquoi j'ai accepté de vous parler".

Interrogée sur le rôle de "First Lady" qu'elle entend jouer à l'avenir, la femme du chef de l'Etat reste évasive. "Il n'y a pas de rôle. Je ne crois pas avoir un rôle particulier". "Toute ma vie, j'ai aidé les gens qui souffrent : je ne vais pas changer aujourd'hui (...) Chacun a le devoir de s'engager quand il le juge nécessaire", conclut Cécilia Sarkozy.

(Le Figaro - 04/09/07)

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